Dans le dernier livre de Cyrulnik « les deux visages de la résilience » se trouve une explication passionnante de la manière de résoudre. Le premier aspect fait état « des problèmes psychologiques, pathologiques qu’a pu entrainer un traumatisme important ». La résilience dans ce cas est un processus de récupération à la suite d’une perturbation qui ramène un individu à un état de fonctionnement optimal.
Une vision néolibérale tend à considérer que la résilience est le processus qui conforte les plus forts et laisse-les plus faibles disparaitre. C’est une compréhension négative de la résilience. C’est le deuxième aspect.
La vision néolibérale tend en effet à considérer que la résilience est le processus qui conforte les plus forts et laisse les plus faibles disparaitre.
La résilience sous son aspect positif se développe chez des individus à qui l’entourage, le soutien affectif, est une aide à la libération pour la personne atteinte du plus grand désarroi après une épreuve traumatisante..
L’environnement est une porte ouverte à la maîtrise de l’épreuve. L’ aidant peut alors obtenir et convaincre l’individu de changer de lieu, pour trouver un autre environnement afin de quitter le climat qui l’enferme..
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